Les motivations du projet sont de soutenir une agriculture vertueuse pour offrir du pain et de la farine biologiques en circuit court principalement à destination de la restauration collective notamment en réponse aux nouvelles exigences posées par la loi Egalim.
En effet, le décret d’application de la loi Egalim prévoit qu’au plus tard le 1er janvier 2022, les repas servis en restauration collective dans tous les établissements chargés d’une mission de service public devront compter 50 % de produits de qualité et durables, dont au moins 20 % de produits biologiques.